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3 poèmes ont été publiés dans le n° 94 de la revue Traversées (Belgique)



Parution du recueil "Le vol du colibri", aux éditions Unicité



2 poèmes ont été publiés dans le n° 89 (automne 2018) de la revue Traversées (Belgique)



6 poèmes ont été publiés dans la revue "Art'en-Ciel" n° 25/26



12 poèmes ont été publiés dans le n° 78 de la revue Traversées (Belgique)



7 poèmes ont été publiés sur le blog "le capital des mots" en mai 2015

http://www.le-capital-des-mots.fr/2015/05/le-capital-des-mots-olivier-cantenys.html



8 poèmes ont été publiés sur le blog "le capital des mots" en avril 2015

http://www.le-capital-des-mots.fr/2015/04/le-capital-des-mots-olivier-cantenys.html



3 poèmes ont été publiés sur le blog "le capital des mots" en février 2015

http://www.le-capital-des-mots.fr/2015/02/le-capital-des-mots-olivier-cantenys.html



1 poème a été publié dans la revue "Libelle" n° 261 de novembre 2014



3 poèmes ont été publiés sur le blog "le capital des mots" en août 2014

http://www.le-capital-des-mots.fr/2014/08/le-capital-des-mots-olivier-cantenys.html



8 poèmes ont été publiés dans le n° 71 de la revue "Traversées" (Belgique)



1 poème et 1 peinture publiés dans la revue "Art'en-Ciel" n° 19



Nouveaux poèmes d'Olivier Cantenys sur le blog de  la revue "le capital des mots"

http://www.le-capital-des-mots.fr/article-le-capital-des-mots-olivier-cantenys-121308622.html



4 poèmes publiés dans la revue "Art'en-Ciel" n° 17 (septembre/novembre 2013)

5 poèmes d'Olivier Cantenys sur le blog de  la revue "le capital des mots"

http://www.le-capital-des-mots.fr/article-le-capital-des-mots-olivier-cantenys-118810066.html



Un poème publié dans la revue "Les Amis de Thalie" (avril/mai/juin 2013)



Œuvre d'art reproduite en page de garde du n° 16 de la revue Art'en-Ciel



3 poèmes publiés dans la revue "Les amis de Thalie" (la poésie pour étendard tome 13)



Un poème publié dans la revue "Les Amis de Thalie" (janvier/mars 2013)


Nouveaux poèmes d'Olivier Cantenys sur le blog de  la revue "le capital des mots"

http://www.le-capital-des-mots.fr/article-le-capital-des-mots-olivier-cantenys-116011436.html



1 poème publié dans la revue "Art'en-Ciel" n° 15 (mars 2013)



5 poèmes d'Olivier Cantenys ont été publiés dans le n° 67 de la revue "Traversées" (Belgique)



16 poèmes dans le recueil mot à mot (automne 2012) publié par "Les amis de Thalie"



Nouveaux poèmes d'Olivier Cantenys sur le blog de  la revue "Le capital des mots"

http://www.le-capital-des-mots.fr/article-le-capital-des-mots-olivier-cantenys-114225415.html



Un poème a été publié dans le n° 74 de la revue "Les amis de Thalie"



Nouveaux poèmes d'olivier cantenys sur le blog de  la revue "le capital des mots"

http://www.le-capital-des-mots.fr/article-le-capital-des-mots-olivier-cantenys-113462145.html



1 poème a été publié dans la revue "Libelle" n° 239 de novembre 2012



3 poèmes ont été publiés sur le blog "le capital des mots" en novembre 2012

http://www.le-capital-des-mots.fr/article-le-capital-des-mots-olivier-cantenys-112002367.html



Des poèmes d'Olivier Cantenys ont été publiés dans les revues suivantes :

revue Art'en ciel n° 13: 3 poèmes (sept 2012).
revue Opuscules : tome 8 : 2  poèmes ( 2012)
et les amis de Thalie : 2  poèmes (2012).



Trois poèmes d'Olivier Cantenys ont été publiés sur le blog "Le capital des mots" en août 2012 :

http://www.le-capital-des-mots.fr/article-le-capital-des-mots-olivier-cantenys-109581778.html


Un poème est paru dans la rervue Les amis de Thalie "Nos belles saisons" hors série été 2012

Les amis de Thalie


Des poèmes d'Olivier Cantenys ont été publiés sur le blog "Le capital des mots" en juillet 2012 :


http://www.le-capital-des-mots.fr/article-le-capital-des-mots-olivier-cantenys-108366679.html


Nouveau poème sur le blog de "poèmes Epars"


http://www.poemes-epars.com/article-du-nouveau-monde-olivier-cantenys-100006609.html


Des peintures d'Olivier Cantenys sont visibles sur le blog de "poèmes Epars"


http://www.poemes-epars.com/article-peintures-olivier-cantenys-99930792.html


Des poèmes d'Olivier Cantenys ont été publiés sur le blog 'Le capital des mots" en juin 2011 :


http://www.le-capital-des-mots.fr/article-le-capital-des-mots-oliver-cantenys-76216820.html


Deux poèmes d'Olivier Cantenys ont été publiés sur le blog de "poèmes Epars" en janvier 2012  (blog de la revue "art' en-ciel")


http://www.poemes-epars.com/article-extrait-olivier-cantenys-artiste-peintre-et-poete-96354424.html




Un poème dans le n° 72 de la revue "Les amis de Thalie"
(2ème prix du concours littéraire 2012, section poésie)


 
6 poèmes dans la revue Brabant n° 46
 



4 poèmes oubliés dans la revue de Joseph Ouaknine (juin 2012)


2 poèmes publiés dans la revue n° 71 (janvier / février / mars 2012) des Amis de Thalie


Aquarelle d'Olivier Cantenys en dernière page de couverture de la revue Art'en-Ciel n°12



Trois poèmes publiés dans le numéro 11 de la revue Art'en-Ciel (mars 2012)




Poèmes pour Marie-Christine

Ta part, levée de plein de ciels, c'était ce que ton visage racontait comme presque issu d'une énigme.
Mais toi, tu savais que tu n'étais ici que presque par hasard, comme sortie d'un jeu de dés.
Et tu devinais qu'il y avait comme quelque chose qui allait trembler et passer, vers le temps de l'hirondelle.
Pour moi, tu mis quelques plumes d'oiseaux inconnus, quelque éclat de lumière sur tes lèvres.
Et contre ton corps et ton visage fait d'écume, je sentis le temps se contracter comme la peau de tes seins, qui se donna à mes mains.
Libellule de parchemin, écolière de bruyère.

Comme je pourrais te le dire, sans avoir à murmurer le nom de la peau de l'océan, pour nous deux, soit le jour et la nuit.
Et, du jour qui se change en mage, de toi, ma reine, naît un vaisseau pour l'espace, si allongé de l'atlantique.
Se tend le bleu de ton collier, des portes de la galaxie d'Orion.
Etoile de mer, posée à ton cou d'albâtre.
Nénuphar fait d'écrin et de poussière de soie, sur ton torse soit comme un trait en espérance du rouge de mon cœur.
Lui, tant exposé au soleil de mes mains, sur ton torse.
Du blanc, ta chair d'orchidée en frémit encore toute parcourue de senteurs marines.

Ta robe d'émeraude se met à parler, comme l'arbre s'effrite derrière ton sourire d'écureuil, en formes d'exils de pirates.
Et toi, prends le risque de surprendre tout cela, toi, la fiancée du poisson-lune.
Comme j'ai voulu la marque de ta peau, de ce qu’il y a de plus éternel comme les neiges de l'Himalaya, si lointaines de ton domaine de jeune occidental au regard de cueilleuses de lavande.



Nouveaux poèmes sur le blog de la revue Le capital des mots


http://www.le-capital-des-mots.fr/article-le-capital-des-mots--olivier-cantenys-100673878.html



Poème de la revue LIBELLE (n° 232 mars 2012)


Colchique et colibri
dans la même page
de mon dictionnaire.
                                            Véronique Dutreix

UN POINT C'EST TOUT


Assembler les mots
assemblé les images
même trajet

L'œil bouge
les lignes et les points
travail d'accordéoniste

Les nuages passent
point d'exclamation
Verte est la prairie
perpendiculaires les arbres
point à la ligne

L'oreille cueille les sons
bouche bée
                                            Françoise Geier
DESTINÉE

Un rond bleu parfois,
Plus souvent des nuages,
Le noir de l'orage.
Stridulâtes,
Hirondelles violettes!
Coulées de lauriers-roses,
Dunes à peine, closes!
Terre craquelée,
Ephémères liquidités,
Oueds desséchés,
L'eau se perd dans les sables
de la discontinuité !
                                            Ghislaine Fendler '
                                      extrait de « Echec et mat! »


Dors si le ciel est gris, chante si le temps le veut bien, comme on
veut attraper la cime des montagnes.
Un oiseau sera toujours là pour t'accompagner, et pour attraper
les nuages pleins d'espérance.

                                            Olivier Cantenys




Poèmes dans la revue "Comme en poésie" n° 49 mars 2012




Poèmes pour Marie-Christine

Ta part, levée de plein de ciels, c'était ce que ton visage racontait comme presque issu d'une énigme.
Mais toi, tu savais que tu n'étais ici que presque par hasard, comme sortie d'un jeu de dés.
Et tu devinais qu'il y avait comme quelque chose qui allait trembler et passer, vers le temps de l'hirondelle.
Pour moi, tu mis quelques plumes d'oiseaux inconnus, quelque éclat de lumière sur tes lèvres.
Et contre ton corps et ton visage fait d'écume, je sentis le temps se contracter comme la peau de tes seins, qui se donna à mes mains.
Libellule de parchemin, écolière de bruyère.

Comme je pourrais te le dire, sans avoir à murmurer le nom de la peau de l'océan, pour nous deux, soit le jour et la nuit.
Et, du jour qui se change en mage, de toi, ma reine, naît un vaisseau pour l'espace, si allongé de l'atlantique.
Se tend le bleu de ton collier, des portes de la galaxie d'Orion.
Etoile de mer, posée à ton cou d'albâtre.
Nénuphar fait d'écrin et de poussière de soie, sur ton torse soit comme un trait en espérance du rouge de mon cœur.
Lui, tant exposé au soleil de mes mains, sur ton torse.
Du blanc, ta chair d'orchidée en frémit encore toute parcourue de senteurs marines.

Ta robe d'émeraude se met à parler, comme l'arbre s'effrite derrière ton sourire d'écureuil, en formes d'exils de pirates.
Et toi, prends le risque de surprendre tout cela, toi, la fiancée du poisson-lune.
Comme j'ai voulu la marque de ta peau, de ce qu’il y a de plus éternel comme les neiges de l'Himalaya, si lointaines de ton domaine de jeune occidental au regard de cueilleuses de lavande.



Prends le vase dans cette pièce de mosaïques où l'on met une brindille d'olivier sur le front d'une jeune promise.
Et si les branches du sycomore accueillent le pan au matin du givre, tu sais bien que tout est gris cendré quand ton corps joue dans l'espace comme une sculpture de papier mâché.
Souvent le lotus est si gris de tendresse qu'il parle comme un autre poème d'avant Ulysse.
Je sais que tu sais tout cela, mais toi tu veux lui parler de ton amour.
Attends le matin où il pleuvra des feuilles d'argent.
Ce temps n'est plus loin, il arrive juste après le temps d'une escale aux eaux d'Ithaque.
Elles seules peuvent apprendre à naviguer sur l'océan comme poussées par les dieux du vent et de l'air.

J'aime ton corps fait de souffle de paille et d'odeurs d'oranges.
La lavande habite tes seins.
Arrive du ciel une nuée d'oiseaux qui enchantent ton corps.
J'aime ce moment où j'entends le bruit de ton corps.
Il te faut fendre le jour en deux pour créer le jour et la nuit.    

Tu fus comme Néfertiti, en sympathie du Nil, comme la reine de mon corps.
Elle, elle hypnotise le bleu du ciel veiné des zébrures d'Orion, pour notre fils.
Lui, si modeste devant les années à venir, il ne sait pas encore compter comme un sablier est prêt à se vider.

J'aime le bleu du ciel pour exister pour toi, aussi pour croire au nuage qui viendra conjuguer l'horizon avec la terre, comme tu composes notre table d'objets rares aux accents si lointains.
Ne prends pas ce pas si posé que tu as, suspends le dans cette pièce pleine d'effluves de citronniers qui me réveillent à chaque matin que met le jour sous le vent.




Poème publié dans la revue "les Amis de Thalie" mars 2012




Voix du pinson, et du bruit du vent sous l'arbre avec le passage d'une barque, comme une felouque égyptienne, conquise par ta présence d'occidentale.
Tu as ces eaux de cataractes, qui descendent sur tes cheveux, s'égarant au soleil montant, dans l'espoir d'un rêve que tu fis un jour de chant d'hirondelle.













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Un nouveau poème est publié en mars 2012 sur le blog de "poèmes Epars"

http://www.poemes-epars.com/article-olivier-cantenys-96310825.html



Depuis le milieu des années 70, Olivier Cantenys a participé à des revues de poésies aujourd'hui disparues.




Poèmes édités dans la revue TER en décembre 1975
 


Mère, dis-moi si l'oiseau reçut un nom
si l'obsolète ira dévorer l'insecte
si la cour dort verte
si la pierre cogne au silence
à ne pas lire à haute voix
mémoire : sommeil ligne matrice
éternité : ennui état exil
calcul : dérision couche discours
mémoires d'une machine volée dans un souk de muet qu'on sut
ordonné en logique langage.
Ta peine d'un discours trop noir, n'ira plus s'émouvoir sur ta couche
évolution d'une détérioration du sacre lorsque l'obsolète s'est glissé sur la cour
Déjà inerte, les éclats d'une violence s'efféminent
Dard qui le mure sous le bain aquatique, tourne
à l'aigre comme un lait
Macération tisse les prémices d'une trame plus close qu'un œuf pour
fermer à jamais un lieu trop désiré
Mémoire, sommeil, ligne, matrice lorsqu'on ne sait
si le jour ira escorter la lune pour la coucher
Si le chat botté cogne au tam-tam muet dernier couteau
Pour saigner le perpétuel
Contamine d'une âcre ombre du singe à l'insecte
molles parallèles de 4 lignes il fit relevé de géométrie
quadra terre pour courtiser une maîtresse détroussée
sous un figuier plus rouge de honte que d'effroi
l'histoire de l'un ira dériver sur un panier de loques putrides
rêve de récréation qui se tire en lambeaux vers un cimetière de
carcasse électrique
mares mouvantes où chavire l'instinct pour élever un métronome de raison
une unique coulisse pour passer de la ruche en alerte au jardin
cellules de fission /' témoin d'observation qui arbitre un équilibre immuable
Impasse où l'on peut par le seul geste renverser l'état
le vaisseau d'une cour dormant fut quadrillé
clôture, fils de décharge où le corps reste cloué
orangers, voiles laqués, draps poumons d'une énergie seconde
oublier, traverser, revoir tel est mon seul désir
Toi femme, insecte d'une cellule en carapace plus irisée que l'espoir
Tu exhibes de tes rondeurs quelques soies laquées
racines qu'étaient des nervures bardées de lampes, génératrices d'une vapeur
solaire
moulins à prières, régies préceptes pour engendrer
le rythme
Fil d'amour à la corde nouée de la pierre
arabesque articulée d'une longitude qui rit au vertical



Bagué quand la pierre brave l'onde aquifère pour se froisser
ballet de deux pantins dans un cirque sans visiteurs
vocaliser d'un oratorio déchaînent les passions incestueuses
sourates et supplications incitent au rut
comme deux cabots qui s'excitent gueules baguées de crocs en bave
La cour fut livrée close au navire souillé de verts pleurs
sous la cage l'oiseau au visage d'été brûlé de folie
le chagrin passé d'un duvet trahit son mensonge sur un cri que
seul le caméléon peut traduire en cristal
iras-tu, encore, obsolète, faucher l'onde verte
pour couler le néon du surnom d'obsolète au coquillage trompeur parade pour
aguicher une louve son lait plus frais que l'onde donne le pouvoir
maintes hypocrisies lorsque le bois bave son flux sous l'aplat
matrice d'un souffle de cristal qu'une dragée plus indécente nourrit
couche glaireuse d'un sperme à l'eau de mon émoi
pourquoi fus-tu opérée source de tant de lendemains d'exil
les signes de l'exil émergent où de ce qui est son fut blâmé
divorce de l'histoire et de l'état / instant perturbé de l'ordonnance
nuit grossière d'une mauve ébat d'une ligne et d'un point
corrigèrent l'innocence d'une lune pour l'avorter en noire
j'irai pisser sur vos reliques entre moulin rouge et martyrs
tremper mon sperme à la jacinthe qui berce le colibri.
Pierre d'une pleurésie quand la ligne s'échancre sur le cadran solaire
rivages désirés et renvoyés, distants d'une cause que l'on ose nommer ennui
murs, cours, balcons aussi effacés et absents que ne l'est la chaleur dans l'asile







TER n°1 décembre 1975 TER n°2 avril 1976 TER n°3 juin 1978
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